Première Partie. Livre III.
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et puisqu’on a:
1 = s + /¿, 3 = s' + //,
on doit chercher les différentes valeurs du coefficient E dai^ les formules
t‘3, 0 . 0 . 4 ) , (13, ', 0 . 4 ) , (13,0, ',4) , (13,', ',4) , (13,0,4.4), (13, ',4.4), (13,0,3.4)
et (13, ï, 3,4). On obtiendra ainsi les coefficients
H,—3 *2^,—1
S3 *1
■1,-3
etc.
96. .8 il s’agit des termes d’un degré plus élevé que celui de la
synechie à laquelle appartiennent ces termes, il faut que les nombres p et
p' satisfassent à la condition
p + p' = d -f 2[r + r'),
d étant le degré de la synechie; tandis que r et r' représentent des entiers
positifs pris à volonté.
On en conclut que le degré d’un terme appartenant à une synechie
donnée ne peut différer du degré de la synechie que d’un nombre pair.
Mettons en évidence les quatre combinaisons auxquelles sont soumises
les deux dernières des équations (2). Nous aurons:
I.
n
— s =
— (p —
2r );
s'
— n =
-(p' —
2 0
II.
n
— s =
p —
2r ;
s'
— n =
-Cp'-
2r')
III.
n
— s =
-(p-
2r ) ;
s'
— n =
p' —
21*'
IV.
n
— s —
p —
2 r ;
s'
— n =
p' —
2r'
En ajoutant les équations de chaque groupe, l’une et l'autre, il résultera:
(4)
s' S = (p 2r) (p' 2r'),
S' S — p 2r (p' 21’'),
S' S = (p 2r) + P' 2r' ,
S' S = p 2r -f p' 2r' .
Cela étant, on peut prendre s ', s , p et p' à volonté, à la seule con
dition que la somme p -f- p' soit paire ou impaire selon que la différence
est paire ou impaire; et encore qu’elle soit plus grande ou-tout au moins