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nt pas modélisés. Les
lies du couvert sont
[angulaires adjacentes
représentation simple
et effilées, petites et
lante sont distribuées
iphérique, ellipsoïdale
donc à modéliser les
Dnstituant les feuilles.
!ts de chaque triangle
d'inclinaison foliaire.
1984) qui permet de
>rme... La distribution
surfaces foliaires f(Z)
( 8 )
e. Les paramètres a, b
îvert et de la position
nie, sa position sur la
toutes les feuilles se
i.
ït la modélisation de
anchages, ont pu être
n laser sur un couvert
pe général consiste à
> afin d'observer ses
lluminé verticalement
ssus du couvert et par
tés par le spot laser et
divisons la section du
ind, alors leur section
: foliaire de très petite
d'interception par le
; le sol, de manière à
n formations connues,
dent à la somme des
ies en considérant les
à celle des éléments
(9)
, par l'ajustement des
nalyse. Le signal de
fluorescence est ensuite calculé par les relations (1) et (3) après avoir fixé les paramètres Aj et tj des
composantes de la fluorescence. Chaque rayon lumineux donne naissance à un déclin de fluorescence qui va
contribuer au signal total du couvert. Cette contribution est égale au signal modélisé pour une surface plane
horizontale, décalé sur l'axe des temps par rapport à une référence fictive (sommet du couvert) d'une durée
correspondant à la position verticale de l'élément foliaire illuminé par le rayon. Le même raisonnement est tenu
pour la contribution au signal de réflectance totale du couvert. Cependant, dans le cas de l'interception d'un
rayon lumineux par le sol, la contribution de ce dernier au signal de fluorescence est nulle.
Enfin, pour simuler des données expérimentales, un bruit poissonien est superposé aux signaux
modélisés (Denas, 1983).
Fig. 3 : Modélisation des signaux de fluorescence et de réflectance d'un couvert végétal. Signaux obtenus par
une technique de lancer de rayon sur une maquette informatique de couvert végétal.
34. Validation de la méthode d'analyse
De nombreux cas de figure, en particulier des situations difficiles, ont pu être modélisés. Ainsi, nous avons testé
notre méthode de déconvolution dans le cas de couverts végétaux denses. A titre d'exemple, la figure 3 montre
les signaux résultant d'une simulation menée sur un couvert dense défini par une épaisseur de la masse foliaire
de 20 cm (LAI = 1 ¿4), située 10 cm au-dessus du sol. Les dimensions de la section cariée du faisceau laser sont
5x5 cm. Les signaux résultent de la contributions de 625 rayons lumineux élémentaires, correspondant à la
division par 25 des côtés du spot laser. Ainsi, une surface de 0,2x0,2 cm est illuminée par chacun. La répartition