combinés deux à deux, trois points quelconques n’étant associés que des deux façons qui 
correspondent aux plus grands angles de sommet S. 
Sur l'axe des y, on marque les points a, b, c, d, dont l’ordonnée est égale à la parallaxe 
transversalle X du point correspondant emplifiée vingt ou cinquante fois par exemple. Par 
chacun de ces points on mène une parallèle à direction SA, SB, . . . correspondante. De 
l'intersection de deux des droites ainsi tracées on abaisse la perpendiculaire sur le diamètre 
du cercle relatif à leurs directions. 
Le calage initial des photographies étant supposé suffisamment approché, le point S’ 
peut être pris à l’intersection de ces perpendiculaires, qui sont assimilées chacune à la 
portion de cercle correspondante. Dans le cas de quatre points ou plus, ce point est dhoisi 
à l'intérieur du chapeau d'intersection de ces droites. Ses coordonnées sont mesurées et four 
nissent p et q à l’échelle du graphique des X. 
Dans le cas où la parallaxe X peut être annulée sur le point d'ordonnée nulle, le 
graphique peut être simplifié ( fig . 3). Au lieu de mesurer X pour les points A et B par 
une translation en y du faisceau perspectif, on peut mesurer l = (z/y) X par la translation 
en z qui assure la visée simultanée des deux images de chacun de ces points A et B. Ces 
quantités / sont reportées sur l’axe des z. C'est alors des points a et & situés sur cet axe 
que sont abaissées les perpendiculaires sur les diamètres des cercles passant par le point 
correspondant et le point d'ordonnée y = o. 
Le rapport z/y étant généralement plus grand que l'unité, la sensibilité des mesures 
de / est plus grande que celle de X . Ce mode de correction de la parallaxe verticale est, 
tout comme la translation en y, susceptible de répétitions des mesures, il peut évidemment 
être appliqué à certains des points du cas général précédent. 
Ce dernier graphique, appliqué à des poins situés dans les plans x = O et x = B est 
d'un usage régulier à l'Institut Géographique National depuis 1941. Son application a diminué 
la durée de formation de l’image plastique, augmenté la précision de la restitution et facilité 
le recrutement des rest¡tuteurs.