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Can we rationalize the vegetation and other inputs, such as slope 
effects, to make every classification more precise? In the ongoing 
research program, these problems are being investigated in attempt 
ing to apply the same methods for other, quite different, types of 
terrain in the Canadian Arctic, 
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ACKNOWLEDGEMENTS 
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The author wishes to thank Dr. Seymour Shlien, Canada 
Centre for Remote Sensing, for his assistance and advice on many 
of the technical aspects of this project. 
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REFERENCES 
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Shlien, S. & Good enough, D. 
1974: Quantitative methods for determining 
the information content of ERTS imagery 
for terrain classification; 2nd Can. 
Symp. on Remote Sensing, Guelph, 
(Abstract). 
finition 
P 10 
RESUME 
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L'analyse des photos aeriennes classique demanda beaucoup de temps 
pour la préparation de cartes préliminaires des depots surfioiels 
dans le nord du Canada. Il est cependant probable que 1 'analyse 
multispectraie des données du satellite ERTS-1 nous offre un moyen 
plus rapide et relativement précis de parvenir au meme résultat. 
L'appareil Bendix de visualisation a servi à la conception d' 
ensembles destinés à parfaire la classification automatique des 
terrains et ces ensembles ont été utilisés pour une zone située 
près de Pelly Bay, T.N.-O. Une carte de distribution des dépôts 
surficiels a été établie à partir de vérifications au sol et com 
parée à la carte ERTS, En général, les limites des unités de 
terrain et des matériaux correspondaient assez bien, sauf a cer 
tains endroits ou les différences de végétation les rendaient 
imprécises. La reclassification de la carte ERTS à l'aide des 
données recueillies au sol a permis de séparer les depots sur 
ficiels recouverts de végétation selon les différences entre les 
communautés végétales surjacentes. Les résultats indiquent que 
la classification automatique des données ERTS est un moyen utile 
de produire des cartes préliminaires des terrains destinées aux 
programmes de vérification sur le terrain. Il reste cependant 
que cette conclusion est tirée de l'examen d'une zone restreinte 
et qu'il faudra effectuer d'autres recherches pour vérifier la 
validité de cette technique et son application a d'autres parties 
de l'Arctique canadien.