Full text: Proceedings of Symposium on Remote Sensing and Photo Interpretation (Volume 2)

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V - LA MODELISATION 
La Modélisation consiste à trouver une "correspondance 
entre les structures précédemment déterminées et les propriétés des 
"objets" du thème cartographique. Cette étape n'est encore qu'ébau 
chée mais a déjà fait cependant l'objet de réalisations partielles. 
Nous citerons par exemple l'extraction du cadastre romain à partir 
d'une photographie aérienne, grâce à l'utilisation des propriétés 
de la transformée de Fourier (Chevallier et col., 1970 ). Nous pré 
senterons plus loin un algorithme topologique servant à "extraire" 
les rivières. Certains thèmes sont trop complexes pour être actuel 
lement définis par un modèle simple ; celui qui concerne par exem 
ple la cartographie géologique (Guy, 1970) nécessiterait que l'alti 
tude de tous les points de l'image soit connue, mais cette notion 
n'apparaît généralement pas, pour le moment, sur les images digita 
lisées . 
VI - EXEMPLES 
l) Cartographie dans une région marécageuse (La Camargue) 
La figure 1 représente une partie d'une image ERTS I 
(1187 - 10025 - 7) prise le 26 janvier 1973 sur le S.E. de la France. 
Les différentes régions couvertes d'eau ainsi que les rivières 
(Rhône, etc...) y apparaissent en noir. De nombreuses étendues sont 
recouvertes de sables et de limons plus ou moins humides, couverts ou 
non de végétation ; ni l'examen de l'image ERTS, ni celui d'ailleurs 
des photographies classiques ne permettent de faire une distinction 
entre les surfaces d'eau libre et celles couvertes de sable mouillé, 
etc... La figure 2a représente la cartographie obtenue après analyse 
texturale et avant homogénéisation des textures (méthode adaptative). 
La figure 2b a été obtenue après homogénéisation. Onze catégories 
d'eau et de terrains humides ou marécageux ont été différenciées : 
5 classes dans l'eau de mer, 3 classes dans les marais, 3 classes 
dans les eaux libres. Les zones apparaissant en blanc correspondent 
à des terrains toujours émergés. La figure 3 représente un détail de 
la figure 2 avant et après homogénéisation. On y a regroupé entre eux 
différents caractères texturaux de l'eau de mer en établissant bien 
entendu une "frontière" entre les classes qui correspondent à la mer 
et celles qui correspondent au continent ; on a également regroupé 
certains caractères texturaux correspondant aux marais sans les mélan 
ger aux classes correspondant à l'eau libre, etc... (cf. légende 
fig .3 b ) . Aucun caractère n'a été modifié à l'intérieur du lac du 
Vaccarès car les points isolés qu'on y remarque correspondent, soit 
à des zones de très faible profondeur, soit à des affleurements. 
Cette homogénéisation a été faite en fonction du critère suivant : 
supposons que nous ayons affaire à deux classes correspondant à des 
marais ; l'une avec végétation (classe 1), l'autre sans végétation 
(classe 2). Dans le schéma ci-dessous, les chiffres 3, 4, 5 et 6 
représentent des classes différentes des classes 1 et 2 : 
eau libre, terres non marécageuses, etc. 
chiffres de la fig. 3b). 
par exemple 
(sans rapport avec les 
î léments
	        
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