Deuxième séance
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M. Kôhnle procède ensuite à une série de projections pour illustrer sa
communication.
M. Hasselwander illustre ensuite par les projections suivantes sa
communication de la veille sur L’histoire , le but et les procédés de là
Stéréoradiogrammétrie :
1) Schéma montrant la marche des rayons dans le stéréoskiagraphe
(principe du stéréoplanigraphe de Deville) ;
2) Un des premiers instruments construits par M. Hasselwander
d'après le principe du stéréoplanigraphe (1915) ;
3) Dispositif de l’index articulé et mobile suivant les 3 dimensions,
avec le dispositif de dessin ;
4) Radiogramme d’un éclat d’obus dans le bras avec les repères auxi
liaires de localisation (1915) ;
5) Esquisse constituée par une projection plane localisatrice, destinée
au chirurgien;
6) Exemple de localisation d’éclats d’obus par coupes optiques dans le
modèle stéréoradioscopique ;
7) Moulage d’une fracture osseuse due à un éclat d’obus;
8) Schéma du mode opératoire pour l’établissement des coupes optiques
obliques en vue de moulages;
9) Schéma du mode opératoire pour l’établissement des coupes optiques
obliques dans le modèle stéréoradioscopique;
10) Moulage obtenu d’après des images stéréoradioscopiques, en vue de
l’étude anatomique des déplacements des organes abdominaux;
11) Marche des rayons dans la stéréoscopie aux rayons X, dans le
procédé à réseau, pour l’obtention de 2 images simultanées formant couple.
L’ordre du jour appelle la communication suivante de M. Stoiick.
accompagnée de l’explication et de l’interprétation de nombreuses
esquisses en reproduction :
LA STEREORADIOGRAMMETRIE EN ORTHOPEDIE
« La stéréométrie aux rayons X et la reproduction plastique au moyen
de moulages trouvent un large emploi en Orthopédie. Elles intéressent
plus particulièrement le bassin, dont les dimensions en profondeur sont
considérables, et dont l’examen direct est rendu difficile par les masses
musculaires.