Première séance
:\u
donc
a = -L ,
y an
d la fonction (3) peut prendre la forme
\/ an n
Ces deux équations (2) et (5) définissent f et n.
(5)
La fonction (3) peut prendre toutes sortes de formes. On peut supposer
par exemple qu’on change la focale f, son ouverture 1 : N, mais qu’on
dispose toujours de la même énergie pour mettre l’obturateur en mouve
ment. On peut aussi considérer cette fonction comme définie par les cons
tructeurs. Pour l’avoir il suffirait de prendre plusieurs objectifs et marquer
leurs diamètres d’ouverture cl et leurs temps — (Fig. 3).
n
On obtiendrait ainsi une certaine courbe, qui nous donnerait la fonc
tion (3). Celle-ci nous définirait l’équation (5). L’équation (5) contient a ;
or a d’après (4) est proportionnel à la quantité d’énergie lumineuse
nécessaire pour impressionner la couche sensible. La valeur de a dépend
donc de la sensibilité de l’émulsion. L’équation (2) contient la constante k,
qui dépend de la valeur £ de résolution de la couche sensible. Les deux
équations (2) et (5) définissent donc la valeur de la focale en fonction de
la finesse du grain et de la sensibilité de l’émulsion ».
En réponse à quelques interventions et à quelques questions posées à
fauteur, celui-ci indique que, dans les conditions actuelles de la pratique
(altitude de prise de vues de quelques centaines de mètres et vitesse de
l’avion d’environ 180 km/h.) la valeur numérique de la focale rationnelle
est comprise entre 10 et 20 cm. Quant au format utilisé, il serait 11 x 12
pour une focale de 16 cm.