Or on peut supposer m<a, car le problème peut toujours être ramené à ce
cas. On aura donc lorsque a est un nombre impair, (voyez Euleri Cale, integr.
pag. 49, r>0).
f^k dx = \ Xo ^ x -^+log|/(l-2*cos — + *’)
*> éC a ~0 • *2hnK ,
v sin . arc tang
x . sin
2A-TT
1-x .cos
2/îtc
Si l’on pose cette expression égale à — log (x—1) -j- P, on aura
/ - . x^dx-P- — log— î-, et en intégrant entre les limites x=Q et^*=l,
y *l r m 1 1
—. x^'dx = P"—P' — — log ci.
o x a —1 a °
On voit aisément que P'— 0, et qu’on ait
^=-A«« —log(*-* cos "*)—sin^ïL.arctg
a a . a / a a &
2 kx
1-cos
2 kiz
Il s’ensuit donc, lorsque a est impair
K 1 + v)=^— l0SB +f‘ )cos ^ Llog ( 2 - 2cos? r)
o 2Z-mTC ,
— 2 21 k sin - a - • arc tang
(
s l 'U- (
(D)
1 -cos
a — 1 donne Z(2) = l; « = 3 et ?rc = l donne
¿(1 -j-.t ) — 3 — log3 -f- cos ~. log (2 — 2 cos — 2 sin ^. arc tg
2tt
1-cos
2tü
or cos^-=—1-, sin-^-r=^®, donc Z/(l + -j)=3 — § log3 ~ y(3)
a=3 et «î=2 donne ¿(1 + •§) = § — | log 3-}- j/" 1 (3).
La formule (D) a seulement lieu, lorsque a est impair.
Lorsque a est pair, on aura:
¿(1 4- logo+loga+^cos-^ÎS.log (2—2cos™)
r» • 2 krme .
— 2 211- sin arc tang
sin
2/i'tc
«
m 2hz
(E)