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NOTE IX.
Or, cos -j-tc”o, cos - tc sin jn—~\/3 ; donc cos C —
— 7. D’où l’on voit que l’inclinaison des faces de l’octaèdre
et l’inclinaison des faces du tétraèdre sont deux angles sup
pléments l’une de l’autre.
fig. 246. Dans le dodécaèdre, un angle solide est formé de trois
angles plans égaux, chacun, à l’angle d’un pentagone
régulier; ainsi, en faisant a — 6z:c = |.ir, on aura
cos a . 1 —v/ 5
cos Cr=r ; mais cos — sin ~ tc — ,
1 -i-cos« 0 4
1 ^ 1 — \/5 x a
donc cos C~ = , sm C=—-, et tan" C =
5 — v/5 v/5 y/5 *
%• M7.
Dans Vicosaèdre,
b — C B' A' = i*,
il
et
faut faire c rr: C' B' D' — 7 tc
COS 7 TT—• COS 2
on aura cos C = —,
sin 2 7 tc
■|(i —y/5) — 7 —v/ 5
; donc sin C = f. Telles sont les
expressions très-simples par lesquelles on détermine l’incli
naison de deux faces dans les cinq polyèdres réguliers. Mais
nous remarquerons qu’on aurait pu les comprendre dans
une seule et même formule.
f,g.248. En effet, soit n le nombre de côtés de chaque face, rn le
nombre d’angles plans qui se réunissent dans chaque angle
solide ; si du centre O et d’un rayon — 1, on décrit une
surface sphérique qui rencontre enp, q,r, les lignes OA,
OC, OD , on aura un triangle sphérique p q r, dans lequel
TC TC
on connaît l’angle droit r, l’angle p = —, et l’angle q — ;
" m n
on aura donc, par les formules connues, cos q .
sin q
Blais cos q r — cos COD — sin CDO — sin C , C dési-
cos —
gnant 1 angle CDE ; donc sin \ C — •. Formule géné-
TC
sin —
n
raie qui, appliquée successivement aux cinq polyèdres ,
donnerait les mêmes valeurs de cos C ou de 1 — 2 sin 2 \ C