),
SPHÉRIQUE. 899
Il C05 q -R cosp=2sin~ (p-\-q) sin- {p~q)\ on *xxmi.
trouve R cos (a—h) —R cos c = 2 sin- (c — b -\-a)
sin\ (c—a + Z>); donc
/c-\-b — a\ . Sc~\-a — b\
ln \ 2 ) Sm \ â )
ou sin 1 - C = R 1/
\ sin a sin h
Il est évident qu’on aurait des formules semblables
pour exprimer sia \ A et sin B, par le moyen des
trois côtés a, h, c.
exxix. Le problème général de la trigonométrie
sphérique consiste , comme nous l’avons déjà dit,
à déterminer trois des six quantités A, B, C,
a, h, c, par le moyen des trois autres. Il est né
cessaire, pour cet objet, d’avoir des équations entre
quatre de ces quantités, prises de,toutes les maniérés
possibles ; or, six quantités combinées quatre à
6.5
quatre ou deux à deux, donnent —— ou iÜ combi
naisons, ainsi il y aura quinze équations à former;
mais si on ne considéré que les combinaisons essen
tiellement différentes, ces quinze équations se rédui
sent à quatre.
En effet, on a, i° la combinaison abc A, qui
comprend, par la permutation des lettres, abc A,
abc B, ¿z ô c C ;
2 0 La combinaison a b AB, d’où résultent a b AB,
IcBQ, ¿zc AG;
8° La combinaison a b AC, qui comprend les six
a b AC, a b B G, acA B, acB C, bcA B, bcA C;
4° Enfin, la combinaison «ABC, qui comprend
les trois zzABC, ¿ABC, cABC,
il y a donc en tout quinze combinaisons, mais