TRIGONOMETRIE
n’y en a que quatre essentiellement différentes.
T ,, . . R" cos a — R cos h cos c
Lxxx. L équation coî A =: :—:—: ,
1 sm b sin c
représente déjà la première combinaison abc A et
celles qui en dépendent.
Pour former l’équation qui répond à la combi
naison a b AB, il faut éliminer c des deux formules
qui donnent les valeurs de cos A et cos B ; mais l’éli
mination a déjà été faite (lxxvii), et le résultat est
sin A sin B
s in a sin b '
La troisième combinaison se forme de la relation
entre a, b } A, C; pour cela ayant les deux équa
tions
cos A sin b sin c 11 2 cos a — R cos b cos c,
cos C si/i b sin a=. R 2 cos c— R cos b cos a,
on en éliminera d’abord cos c, ce qui donnera R cos A
sin c -j- cos G sin a cos b ■=. R cos a sin b : mettant
sin a sin C
sin A
on
ensuite dans celle-ci la valeur sin c :
aura pour la troisième combinaison
coi A sin C -J- cos C cos b “ coi a sin b.
Enfin, pour avoir la relation entre A, B, C, a,
j’observe que dans l’équation précédente le terme
coi a sin b
sm b
R cos a. —.—
sm a
„ sin B ,
R cos a —— r ; donc,
sin A 1
en multipliant cette équation par sin A, on aura
R cos A sin C zrz R cos a sin B — sin A cos C cos b.
Si dans cette équation on permute entre elles les let
tres A et B, ainsi que a et b, on aur^
R cos B sin G = R cos b sin A— sin B cos G cos a.
Et de ces deux-ci on th’e, en chassant cos h,
IVcos A sin G -h R cos B sin C cos G cos a, sin B sin' C.