r GH, considérés
•, seront égaux
ne puisque les
es à une même
îles entre elles,
•ar rapport aux
Diurne alternes-
, FGH , ont un
angles égaux,
triangles sont
la distance des
al au côté FH,
s parallèles au
VI.
les côtés pu
rgés dans le
égaux.
usqu’à la ren-
égal à DGC ,
mgle DGC est
e à AB ; donc
la restriction
! sens que AG
on en est que
ÎH aurait ses
iC, mais ne
gle DEH et
LIVRE I. 2”
l’an<de BAC feraient ensemble deux angles droits.
O
PROPOSITION XXVII.
THÉORÈME.
Dans tout triangle, la somme des trois angles
est égale à deux angles droits.
Soit ABC un triangle quelconque; prolongez le %-4i
côté CA vers D, et menez au point A la droite AE
parallèle à BC.
A cause des parallèles AE, CB, les angles ACB,
DAE , considérés par rapport à la sécante CAD,
seront égaux comme internes-externes ; de même les
angles ABC , BAE, considérés par rapport à la sé
cante AB, seront égaux comme alternes - internes ;
donc les trois angles du triangle ABC font la même
somme que les trois angles CAB, BAE, EAD ; donc
cette somme est égale à deux angles droits*. *cor.;c
pr. 2.
Corollaire I. Deux angles d’un triangle étant donnés
ou seulement leur somme, on connaîtra le troisième
en retranchant la somme de ces angles de deux angles
droits.
II, Si deux angles d’un triangie sont égaux à deux
angles d’un autre triangle, chacun à chacun , le troi
sième de l’un sera égal au troisième de l’autre, et
les deux triangles seront équiangles entre eux.
III. Dans un triangle il ne peut y avoir qu’un seul
angle droit ; car s’il y en avait deux , le troisième
devrait être nul; à plus forte raison un triangle ne
peut-il avoir qu’un seul angle obtus.