'c DE ; car si les
en un seul, il y
ss points inégale-
impossible; donc
s dis que l’angle
ingles ne sont pas
t soit pris AGI—
tre démontré, AI
AB=DE ; donc
le au tout, ce qui
DCE.
LIVRE II, q'j
en nombres entiers, les arcs AB, DE , seront entre
eux comme les angles ACB , DGE. •>
Scholie. Réciproquement, si les arcs AB, DE
étaient entre eux comme deux nombres entiers, les
angles ACB, DCE , seraient entre eux comme les
memes nombres, et on aurait toujours ACB:DGE
;;AB:DE; car les arcs partiels A/«, tnn, etc., Dar,
xy, etc., étant égaux, les angles partiels AG/«,
mC«, etc., DCx, xCy, etc., sont aussi égaux.
PROPOSITION XYII.
THÉORÈME.
:vi.
es cercles égaux,
DCE, sont entre
s, les arcs inter-
eux comme les
'tte proportion :
: DE.
les angles ACB,
t à 4 i ou, ce qui
angle M, qui ser-
îii u sept fois dans
DGE. Les angles
)Gx, xCy, etc.,
lartiels A/«, mn,
égaux entre eux*;
ntier DE comme
même raisonne-
la place de y et 4
pies ; donc, si le
sut être exprimé
Quel que soit le rapport des deux angles ACB, %. e:;.
ACD, ces deux angles seront toujours entre eux
comme les arcs AB, AD , interceptés entre leurs
côtés et déci'its de leurs sommets comme centres
avec des rayons égaux.
Supposons le plus petit angle placé dans le plus grand:
si la proposition énoncée n’a pas lieu, l’angle ACB sera
à l’angle ACD comme l’arc AB est à un arc plus grand
ou plus petit que AD. Supposons cet arc plus grand,
et représentons-le par AO , nous aurons ainsi :
Angle AGB:angle ACD::arc AB.arc AO.
Imaginons maintenant que l’arc AB soit divisé en
parties égales dont chacune soit plus petite que DO,
il y aura au moins un point de division entre D et O :
soitl ce point, et joignons CI; les arcs AB, AI, seront
entre eux comme deux nombres entiers, et on aura en
vertu du théorème précédent :
Angle ACB:angle AGI :: arc AB:arc AI.
Rapprochant ces deux proportions l’une de l’autre,
et observant que les antécédents sont les mêmes, on
en conclura que les conséquents sont proportionnels,
et qu’ai nsi