2ZS SECONDE PARTIE.
Elles devront être continuées jusqu’à ce que le nombre en soit
n 4 n '2
7— OU —.
(i8). Par exemple, lorsque «=12, il y a cinq auxiliaires A, = (-—),
A a = (|), A 3 = (|), A 4 == (f), A s = (f) , entre lesquelles on a ces
deux équations
A5 = A, .26 sin fit)
* A a A 3 'L .
A 4 = -—r— , 2 6 sm Zùù.
A t
De sorte que le nombre d’auxiliaires nécessaires se réduit à trois,
pour lesquelles on peut prendre A r , A a , A 3 .
Si on préférait de prendre pour auxiliaires trois des quan
tités M a , il faudrait avoir recours aux équations (u), lesquelles
donnent
A, aM,.
sin CO
sin 2CO
A 2 A 3 M 2 sin 2 . 2co
AjAr ’ M t * sin 3« sin 4 a
A4A5 M 3 sin 2 Zoo
A a A a M fl ' sin 5-o sin 6o>*
Au moyen de ces équations et des précédentes, observant d’ailleurs
qu’on a co = ■—, on trouve
A, = 2 sin ¿y.M r
A x = 2* sin a». M* t /(W“—)
y \M 3 COS 2C»/
A 3 = 2 » sin . M 3 t / Mr \
3 3 V \M 3 COS 2®/
— . 1
A , = 2 6 sm ca. M a •
4 COS 20»
7
A 5 = 2 & sin a <W.M t .
(ig). Appliquons ici les résultats que nous avons trouvés dans
la première partie, n° i55, et supposons connues les deux fonc
tions complètes de première espèce F 1 (sin 45°) = B, F 1 (sin i5°) = G.
4.
Si l’on fait comme dans l’article cité, v 5= \/3, on aura