DES INTEGRALES EULÉRIENNES.
variable x ; nous aurons d’abord
2^5
B
+ ( I + ï)y + ( I +v + T ) + etc.
d( '\ x ---- = # + ( i + I ) •** + ( i + 7 -f j ) + etc.
~ JL- 4, Ig. 4. l£l 4, etc =a — MlTlg ,
donc d(V>— G) = — log (1 — x), et eu intégrant on a
B — C = |log a (i-rx),
sans constante, parce que B et C s’évanouissent en même temps
que æ.
On a ensuite
donc
xdC
dx
, a: 4 , x 3 , .
+ -g* + etc*
log(i— x);
d C = — ~ log ( 1 — x),
et en intégrant
G = — log x log ( i — x) log x.
Soit x = 1 —j, on aura
f lo S x = /* lo S = const + y + y - +|- 2 4- etc.
Si donc C est une fonction de ¿c désignée par "T (•%■), on aura
f log^ = const. -j-Ÿ (j) = const + ''F (1 —x) ;
donc
Ÿ (a:) + Ÿ (1 — a?) = const — log x log (1 —x).
Si on fait x = 0,011 trouve Iaconstante='T(i) = i-|-^ + ¿-f-elc.,
quantité dont on sait que la valeur est -g- , de sorte qu’on aura
(^«<4
Ÿ (x)-j- T(i — x) = -7^ loga; log (i —x)
(V).
S