DES INTÉGRALES EULÉRIENNES. 261
Il résulte d’abord du théorème précédent qu'on a
Z'=ZT.
Différenliant cette équation par rapport a p , et observant qu’on a
dZ
dp
; — Z',
dZ'
dp
rj 11 dT
— T', on aura Z'^Z'T-f-ZT', ou
Z"=Z(T 2 -f-T').
Celle-ci étant différenliée de nouveau par rapport à p , donne
Z W =Z(T 3 + STT'-f-T") ,
et ainsi de suite , la loi de ces expressions étant analogue à celle des
différentielles successives de la formule ue^ lLclp .
Si l’on veut donc avoir les valeurs des quantités Z/, Z', Z", etc. ,
ou simplement leur rapport à la fonction primitive Z, il faudra con
naître les quantités T, T', T% etc. en pareil nombre. Mais comme
celles-ci sont rationnelles, et contiennent des puissances moins éle
vées delog on voit qu’au moins la difficulté est diminuée.
(4o). Si l’on intègre la différentielle x m+cl '~ 1 dx, depuis x = o jus
qu’à x = 1 j on aura
fx m +*~'dx
i 1 i
m nd ' rrd
'— zi + etc.
m-{-a m m 2 1 m? nd
Si on met la même différentielle sous la forme x m ~'dx.x* 3 ou
x n -'dx (i + alog ¡~log a ^ + 77~3 lo S 3 - x + etc.),
son intégrale prise entre les mêmes limites, sera
fx^'dx-^- clfx m ~'dx log .r-f- —~^Jx m ~ l dx log a x + etc.
L’identité de ces deux formules exige donc qu’on ait
fx m ~ l dx = —
fx m ~ l dx log (£)
fx m ~'dx log*
fx m ~'dx log 3
i. a
nd
1.2.3
m*