^66 SECONDE PARTIE.
démonstration qu’on en donne ici, n’en est pas moins remarquable*
Outre cette valeur de S 2 , on connaît (5,6) 2 == ■— -rr% et (6,6') a = ^ S
= YTë 'TT 2 ; mais les quatre autres quantités (1,6)% (2,6)% (4,6} 2 , (5,6)*
ne peuvent être déterminées par les équations précédentes.
Observons cependant que puisqu’on a
(2,6) a _ j p + ¿r + etc.,
il en résulte
(2,6)- = i (1 + i + J. + ^ ■4- etc.) = 1 (.,6)* 4-1 (4,6)- ;
donc les quatre quantités dont il s’agit, peuvent être déterminées
au moyen de l’une d’entre elles ; par exemple, au moyen de (1,6} a , de
la manière suivante
(i,6) a = Ç
0> 6 )‘ = Ï35«* + 5.C
№)' = W
(5=
(46). Quant a la valeur absolue de £ , elle n’est déterminable
exactement par aucune formule connue ; mais on peut en trouver
une valeur aussi approchée qu’on voudra par la méthode qu’Euler
a donnée ( Cale. diff., pag. 461 ).
Pour cela ayant fait
5 ' a 2 (a +1 î) 2 + (a + /za:) 2 9
on trouve en général
C C - . 1 1— i . 1 A ' n . r ïï'n 3
n a-\~nx 2 (a-f-njc) 2 (a-f-nx) 3 ~ (a-{-nx) r
C'n 5 D V
(a + «^) 7 * * * Il ' (a-f-rcx)» e ^ C *
A4 B4 C', D', etc. étant la suite des nombres Bernoulîiens.
Il résulte de cette formule que la somme de la suite prolongée
à l’infini étant désignée par (a 7 n)% on a {a, «} 2 = C ; donc récipro-