DES QUADRATURES.
deviendra fu a ~Ulu.e u = fu a ~ l du -f- u -j- — -f- etc.^ ; d’où l’on tire
r / \ u a , u a + l i u a +* i u“+ 3 ...
+ — + -.^4--g.^ + e ic., (4)
formule où il n’y a pas de constante à ajouter , parce qu’elle s’éva-
nouit lorsque x = i.
La suite comprise dans celte intégrale pourra être divergente
dans les premiers termes ; mais elle finira toujours par être conver
gente. Ainsi on en tirera dans tous les cas une valeur aussi appro
chée qu’on voudra de la vraie intégrale , et il est visible que cette
valeur deviendra infinie si on fait x = oo.
(28). On peut encore mettre 4 ( a > æ ) sous une forme plus
JP
commode. Soit fiâ~ x du,e u = <AP, on aura u a ~ l = soit
ensuite P = — -f-A«' I + 1 -f-Bw c! ' f ' 2 -]-etc., on trouvera A =
B
-, etc. ; donc
a.a-{-1. a~{-2.
40, x) — x(j
+
,a 4- a
a.a-j-i 1 .a~i~2
etc
•).
a. a-f-i #
(5)
série qui aura, comme la précédente, la propriété de devenir tou
jours convergente , mais qui aura de plus l’avantage de donner des
valeurs alternativement plus grandes et plus petites que l’intégrale
cherchée,- de sorte que le degré d’approximation sera connu dans
chaque cas par la différence de deux termes consécutifs.
De Vintégrale fydx prise entre deux limites qui rendent
nulle la fonction y.
(29). Si la fonction y est nulle aux deux limites de l’intégrale 5
si on suppose en même temps qu’elle ne change point de signe
d’une limite à l’autre, et que dans cet intervalle elle ne soit sus
ceptible que d’un seul maximum, on pourra faire usage de la mé
thode suivante pour déterminer l’intégrale Z = fydx (*).
Soit m la valeur de x qui rend y un maximum, et soit ce maxi~
(9 Mém, de l’Acad. des Sc,, ann. 1778 et 1782.