6o PREMIÈRE PARTIE.'
x = oo. Or cette intégrale est semblable à la formule M de l’exemple I>
et on obtiendra de même R = —/ F (c, cp) const., en obser
vant que cette intégrale doit être prise depuis la valeur de <p qui
donne æ= */( m—-x) jusqu’à la valeur de <p qui donne x = ce ;
celle-ci est <p = ^ ti* , l’autre étant nommée 0 , on aura R 1 =
—— [F 1 (c?) — F (c, fl)]. Mais en général,
+ y/(o/-f- 3cr 2 -f-3) _
2s 2 y/3
donc en faisant x s = m~~ i, il viendra
COS 2 0 = i+ V/Q 2 4-m-f-i) __ (m— i) 2
ac 2 y/3 2 y/3 — 3*
Or, d’après l’article 24, cette valeur de G est celle qui pour le module
c = 7 y/C?—y/5), donne F ( 0 ) |F l \ donc
F, v-
Comparant celte valeur à celle qu’on a trouvée par l’autre méthode,
il en résulte cette nouvelle relation
F'(*) = /5.F'(c);
laquelle étant j-ointe aux deux déjà trouvées, fait voir qu’une seule
des quatre transcendantes F*(c),F 1 (^), E’(V), E 1 (b) suffit pour
déterminer les trois autres. On a, par exemple, les équations
P = r 'W[E'(«)-QF'W]
ïf 3 = F* (b) [E 1 (4) - (^=i) F . (i) ].
qui servent à déterminer la fonction E 1 (c) par le moyen de F 1 (c),
et la fonction E*(Æ) par le moyen de F 1 (¿).