CG PREMIÈRE PARTIE.
grecs depuis tp — o jusqu’à p = -rr , ou eu tire imiïie’diateïtieul
F' = - (i — ^
a \ a*
E l =
i 2 .3 2 , , i 2 . 3 a .5 a g
. c 4 + c 6
0
- 2 c â
a %
s a .4 :
r
a\4
ü-5c a
2 a . 4 2 . 6 a
i a . 3 2
' a 2 .4 a . 6 a
-{- etc.^
. 5c 6 -— etc.^
Mais ces séries ne sont plus suffisamment convergentes, lorsque c
est fort près de l’unité, et alors il convient de les ordonner suivant
les puissances de h, en considérant h comme très-petit.
Or d’après l’équation E l = h 2 ^F'-f- c = ¿> a . - , on peut
pour première approximation, faire E* = i , ce qui donnera
d(cE*) =pr = et P ar conséquent cF 1 = ^ log Q-—^ > niais
dans le même cas, on a c = i — \ donc la première valeur ap
prochée de F 1 est F 1 = log ^
SoitmaintenantF^Plog^l^-f-Q, P et Q étant des suites or
données suivant les puissances de b ; si on substitue cette valeur
dans l’équation différentielle
ddF 1
( l ~ b ')-dF +
Zb*
¿F 1
db
on trouvera que Féquation pour déterminer P est absolument sem
blable à celle qui détermine F 1 ; celle-ci est de la même forme,
soit que F soit considéré comme fonction de c ou comme fonction
de b ; ainsi on aura d’abord
^ , i a 7 , , i 2 3 a
p = 1 +5*
i* + !r.
Z 2 . 5 a
4"- s s
b s -f- etc.
Désignons les coefficiens successifs par i, m' } m\ etc., en sorte qu’on ait
P = i -f- ni h 2 -f- mh 4 -f- m w b 5 -j- etc. ;
nous supposerons ensuite
F 1 = (i -f- m'b* -f- m n b 4 -\~ 772 ? V> 6 -f- etc.) log ~
— ni A'b*— m n A "b 4 — m'"A w b G — etc.
Substituant cette valeur dans l’équation différentielle ci-dessus, on