QUATRIÈME PARTIE. SECTION II. 117
Mais il faut démontrer que la formule précédente , trouvée pour
le cas où ni est un entier impair, a lieu pour une valeur quel
conque de m,
(123). Quel que soit m, le sinus de l’arc //20 a pour expression
c û m ^ 3 1 7n5fl5 »
sm nvj = mv — 5 H 5-7-r — etc.
1.2.0 1 1.2.0.4.5
Mais l’arc 0 que nous pouvons supposer < \ tt , se développe de
même en cette suite convergente
sin 0 -f-
2.3
sm
3 0
,3.3
2.3.4.5
sin 5 0
1.1.5.5.5.5
2.3.4-5.6.y
sin 7 0 -(- etc.
Donc quel que soit ni, la valeur de —— peut se développer en
une suite de la forme sin ô -f- A sin 3 0 + B sin 5 0 -f- etc., les coefïi-
ciens A, B, G, etc. étant des fonctions de m qu’il s’agit de
déterminer.
Pour cet effet, soit sin 0 = x , et
----- = x -j- Ax 3 -f- B.%‘ 5 -f- Cx 7 -f- etc. :
Tfl
on aura en différentiant de part et d’autre par rapport à 0, et met
tant au lieu de ^ sa valeur cos 0,
cos w0 = cos 0 ( 1 —3Ax a -+- 5Bjc 4 + yCjr® -f- etc.) :
différentiant de nouveau par rapport à 9, il vient
m sin /720 = ( 1—2.5A ) x -|-(5 2 A—4*5B ).x 3 -|-(5 2 B—6. yG )o: 5 -}-elc.
Égalant le second membre terme à terme à la valeur du premier
qui est
nfx + nfAx 3 -f- //2 2 Ba: 5 -f- etc.,
on en tire
A =
B
A (9 — m z )
4.5
B ( 25 — m 2 )
6T7 :
etc.
2.5