QUATRIÈME PARTIE. SECTION II. ng
résulte l’équation connue ( * )
Va F (7 + a ) = F {2a).'rt*.2 l ~‘ ia y
équation à laquelle on serait également conduit en supposant
r = ï — 2«.
(i25). La formule (h) ne pourrait plus avoir lieu si a était né
gatif; mais en éliminant l’arc 6, qui alors deviendrait imaginaire ,
on peut parvenir à la vraie intégrale.
En effet, si on change le signe de a, on aura tang 6 == j/(—a),
sin G = (jZTd) > cos ® ^ y/l (fri a ) y substituant ces valeurs dans
la formule
(cos 0 -f-1/— 1 sin ô) m — ( cos 6 — {/— 1 sin e) m
et faisant m — ar — 1, on aura
sin pr— z) 6 (1 -f- Va Y~' — (1 — y/«) 21 '- 1
sinô 2]/a.(i — a) r_I
on a en même temps cos ar ô= (1 — a)~ r ; donc
ein(ar — 1) fl cQsar q __ (1 — y/ft) 1 -* 1 -— ( 1 + y/g) 1 - 81,
sin 0 * 2^/a
(*) M. Poisson, dans le tome IX du Journal de l'École Polytechnique , a
trouvé des résultats analogues à ceux que nous venons d’exposer. Il parvient ,
page 146 , à une équation entre deux intégrales Eulériennes , qui au fond est
la meme que l’équation (zi); et il ajoute que cette équation contient une nou
velle relation qui peut servir à la réduction de ces transcendantes. On voit ici
que cette équation ne conduit qu’à une formule connue, dont l’équivalente a été
donnée page 284 des Exercices du Calcul intégral, et plus anciennement,
page q6 du Mémoire sur les Transcendantes elliptiques.