QUATRIÈME PARTIE. SECTION I. n
la première devant être employée si l’on a p -)- q < n, et la se-
conde si l’on a p
Au moyen de ces deux formules et de Fe'quation (6), toutes les
intégrales dans lesquelles les nombres p et cj sont pris à vo
lonté dans la série i , 2, 5.. ,n } pourront s’exprimer par les pre
miers termes de la suite T -, F-, T ?, etc., savoir, par —
n J TL * 11 7 ' 7 * 2
termes si n est impair, et par ^— 1 si n est pair.
(14). Comme on a Ç-'ÿ = on pourra toujours supposer
que p nest pas > cj • alors les intégrales qui répondent k
une même valeur de n pourront être disposées dans un ordre trian*
gulaire, comme il suit :
G).
G).©.
G). G). ©•
G)- (:)•(;)••••(;>
Le nombre de toutes ces fonctions est donc ^ ( i -f- n). Il faut
déduire de ce nombre, i°. les n fonctions de la forme dont
la valeur exacte est - : 2°. les fonctions de la forme ( ——V
P 9 \n — pj f
dont la valeur est —-— 1 le nombre de celles-ci est —— ou -,
. Ptt 7 2 3
n sm'—
n
selon que n est impair ou pair. 11 restera donc dans la série des
intégrales (-j), un nombre de transcendantes égales à * 1)%
si n est impair, et à —2) si n est pair.