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SUPPLÉMENT.
(i6). Considérons maintenant la double intégrale
=//;
dpdq sin p cos 1 p
cos*p -¡~ cos 2 «t sin a p cos u q cos 2 £ sin 2 /? sin*q 9
qui aura également pour limites p — o, p = r/=.o, qzzx.-'X.
Si on intègre d’abord par rapport à <7, on aura
jj, 7t r dp sinp cos 2 /?
2 J ^/(cos 2 /? -f- COS a it sin 2 /?) . t/(C0S 2 /?-f-cos 2 Csin 2 /?)'
Soit toujours é> a et cos/7= cotétangcp , on aura la transformée
rj-i w cot 2 £ f^d^ tang 2 <p
*” 2 * cos at sin C J A 9
d’où résulte, après avoir- fait <p = é ,
T = T— - E(c, efl.
Revenons maintenant à la double intégrale, et faisons comme
ci-dessus, cosp x 9 cos 2 et cos 2 q -j- cos 2 é sin 2 q = cos a a), nous
aurons d’abord à intégrer depuis x = o jusqu à x = 1, la diffé
rentielle
x^dx
cos 2 « -f- o; 2 sin 2 »’
L’intégrale de celle-ci est
; cot 2 « , .
i arc tan sO tan S «)•
F ai sa ti t æ=i, celle quantité se réduit à -
■ai COt «
sur«
; on a donc
fji f 1 ' CO COt CO j
sin û âJ ' #
Substituant la valeur de dq en fonction de ¿y, il vient
»Jt Ç ( I — a cot «) de* cot a
J y (sin 2 * sin 2 ût) . y (sin 2 £ — sin 2 «)’
(17). Si on compare maintenant les deux valeurs de T, on
aura cette seconde formule
fv (si
( I — a cot oo)da cot ai
\/(sin 2 « sin 2 it) . \/(sin 2 £ —sin 2 «) 2 sin
impili-E ( C ,g)1,
unk sm G L.COS a v