DEUXIÈME SUPPLÉMENT.
I ID
K
Mais plus ces formules acquièrent de précision, plus elles se rapprochent
de la formule la plus simple de toutes, qui, dans les termes de l’ancienne
échelle, est
F^ \/ (>6 00 * 000 • • •) ?
de sorte qu’il devient inutile de pousser plus loin la recherche des formules
d’approximation. Nous saisirons seulement celle occasion de faire voir que
la valeur de la fonction complète E l c, telle que nous l’avons donnée page 114
du tome I, est facile à déduire de celle de F’c.
En effet, si l’on prend la différentielle logarithmique de la formule pré
cédente, on aura
d F 1
F 'de
db
db°
db°
db°
zbdc ' 2.b°dc ‘ ab 00 dc ab 00 °dc
-{-etc. ;
mais l’équation b° donne = ~ . j de même on a.....
db c
b°°dc
devient donc
\ c°c°° . ^, etc. Le second membre de notre équation
db
bdc
db
É(*
1 c° 4 c°c 00
| c°c 0 °c 000 — etc.) ;
et parce que — = — , on en déduit
p- = - i c o ~ic o c O0 - et c,)= 1 --f l - + {-etc.).
Cette quantité est ce que nous avons nommé L; ainsi l’on aura E’c = LF'c.