PREMIER SUPPLÉMENT.
pour abréger
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s’applique aux
emière formule ;
r se déduiront
le l or , qui ser-
cos <p. Ces for-
sin 2 ç
sin 2 1
¿ 2 sin 2 <p sin 2 «p_» ’
sin 2 <P
sin 2 «P-.a
7 2 sin 2 (p sin 2 «a
sin ^ = i tang r,
Sin 2 o' I-f-COt 2 eip_ 1 Sin~o'
4 sin 2 ®-* * * i -j- cot 2 <», sin 2 (T ’
. „ GOS s cíp—i .
— smV I --Sin V
Sin
_4 ...
^sinV I -f- cot 2 u t sin 2 «•’
£ 3 • 5 . COS 2 «fp— a .
— Sin I ; SinV
_3 SUI 2 «a
i3sin 2 <r i-j-cot 2 *p_*slnV’
tude r se déduira
il en résulte que
negale, et parvien-
litudes sont égales
e on voit, très sim-
alogie très remar-
nombre impair p,
l’une d’après le module k, l’autre d’après son complément k'. La première
étant formée, il suffit de prendre les complémens des différens termes pour
former une seconde échelle qui marche en sens contraire de la première,
comme on le voit ici :
i).... k S9 k % , k t , k, h, h t , Ti% , h 3 .... (o
o).... k' 3 , k\, h f , h' t ,h'„ 7/(i
Dans l’ordre naturel de la première échelle, on passe du module k au mo
dule plus petit h, au moyen de l’équation F(Æ, <p) = piF (h, «^), et en em
ployant la formule qui exprime sin en fonction de sin (p.
Une opération semblable se fait dans la seconde échelle, pour passer du
module k' au module plus grand 7г', au moyen de l’équation
F [k 1 , cr) = pCF(Ji', r) et de la formule qui détermine sin r par sin a. Dans
les deux cas, le régulateur p, est le meme, et les mêmes auxiliaires a m ser
vent à former les équations des amplitudes.
La première échelle sert aussi à passer du module k au module plus
grand k t , de celui-ci au module plus grand 7r a , ainsi de suite; mais alors
l’opération est plus compliquée, parce que chaque amplitude ne peut se
déduire de la précédente que par la résolution d’une équation du de
gré p. Une pareille difficulté se rencontre dans l’échelle des complémens,
quand il s’agit de passer du module k r au module plus petit k\, de celui-
ci au module plus petit k\, etc.
2i. Puisqu’on a en même temps crzzzi'rt et r = {7r, la formule
F {k'y = /¿F (Ji\ r) donne , dans ce cas ? F‘7:' = //F‘7/, ou pi = ^ ?
en désignant par R' et H' les fonctions complètes F l k r et F l h'. Mais, par
la formule du théorème I er , nous avons déjà trouvé K=^H; donc on
a, en général,
(>7) ÎT
Cette équation entre deux modules consécutifs k et /¿, qui appartiennent
à l’échelle construite pour le nombre impair p, est un théorème fort re
marquable, dont nous ferons connaître ci-après les nombreux usages.
Nous observerons seulement ici que ce théorème s’accorde avec les pro
priétés déjà démontrées dans les n os 76 et 190 du tome 1 er , relativement
à l’échelle ancienne des modules et à celle qui répond au nombre 3,
22. Le théorème 11 de M. Jacobi, auquel nous voulons parvenir, est déjà
écrit dans les équations (i5) et (16); il ne s’agit plus que d’y changer quel-
3..