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THÉORIE DU T0TENT1EL NEWTONIEN
et, comme, dans l’expression de cp, on peut intervertir l'ordre des
variables sans changer cp, on a aussi :
+ > V^2ap^ = cp (V2ap, a) ;
on peut donc écrire :
(5) cp (p, 2 a) = cp (/2 ap, a).
Reportons-nous à l égalité (1) et changeons-y p en V / 2ap et 2a
en a, cette égalité deviendra :
( 6 ) ? (^ 2a P> a ) =-
!og
2 V 7 2 ap
+
Comparons maintenant les égalités (4) et (6); les seconds mem
bres de ces égalités doivent être égaux, puisque les deux pre
miers le sont, en vertu de l’égalité (5); on a donc :
la K
■ log —• + ~k—
Ti a ° o 2 Tea
lo
b f
2/2 a
ce qui peut s’écrire, en transformant le second membre de cette
nouvelle relation :
.1 _ a
log —
-a ° p
K
2 77Í
1 1 “
lOÜ
8 o
ou encore :
1 ! a
log —
-a & p
K
2~a
—— log —— —— log 8 H —
b ^ Tïa b
la.
— log — disparaît et l’on tire finalement :
TTil p
lv = 2 log8.
Le calcul de Y s’achève, en portant cette valeur de K dans l’ex
pression de Y :
v o i 8a
Y — lu. log —
Telle est la valeur approchée du potentiel, quand p est très petit.