en matiére de levés photogrammetriques. Les travaux de restitution sont
actuellement en cours.
Planimetrie seule ou planimétrie et altimètree.
Les plans remesurés et par conséquent les plans éventuellement
levés par photogrammétrie renseignent uniquement sur les détails pla-
nimétriques.
Détails prévus sur ces cartes.
Le plan cadastral belge et, par voie de conséquence, les éventuels
plans photogrammétriques doivent donner une représentation conven-
tionnelle exacte d’une partie du territoire d’une commune, avec ses plus
petites subdivisions, soit de culture, soit de propriété.
En fait, y figurent: toutes les construction bâties sur fondations en
matières durables; les limites des propriétés, les limites entre parcelles
de nature différente appartenant à un même propriétaire; les fleuves,
rivières, canaux, ruisseaux, étangs … les routes, rues, chemins, sentiers;
l’assiette des chemins de fer, des chemins de fer vicinaux,
Les numéros parcellaires, les noms des routes, rues, chemins, rivières,
ruisseaux, hameaux, lieux-dits, etc. sont aussi soigneusement renseignés.
On porte en outre sur chaque feuille de plan les références nécessaires à
son identification, telles que: nom de la commune, définition de la sec-
tion, ete. et les indications relatives aux communes ou aux feuilles li-
mitrophes.
On y trace également des paralléles aux axes de coordonnées rec-
tangulaires de la projection cartographique utilisée. Ces paralléles sont
distants de 100 ou de 200 m suivant l'échelle du dessin.
Les maisons et autres bâtiments imposables à la contribution fon-
cière sont désignés par une teinte au carmin; les bâtiments non imposables
par une teinte bleue, les lacs, étangs, cours d’eau, canaux par une teinte
vert d’eau. Les caves et les souterrains qui ne sont pas surbâtis sont om-
brés par des hâchures à l’encre de Chine. Les limites des communes, de
sections, des lieux-dits sont en outre signalés par un liséré de couleur.
N.B. — Tous les plans cadastraux sont reportés sur film, de manière
à en permettre la reproduction rapide par le procédé « Ozalid ».
Les lavis ne sont pas reportés sur ces copies. En conséquence, les
limites des bâtiments imposables sont doublées d’un liséré en pointillé,
et les limites des bâtimentsn on imposables le sont par un liséré en petits
traits.
Les points de croisement des lignes du graticulage sont représentés
par une petite croix.
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