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Pour les renseignements ci-après nous n’avons utilisé que les communications indi
quant des progrès obtenus depuis le congrès de 1952.
Les dispositions et les résultats les plus intéressants permettent d’établir le réper
toire ci-après, complété par des communications dans les publications récentes et par des
interpolations.
Echelle du plan cadastral
1 : 1000
1 : 2000
1 : 5000
1 : 10,000
Echelle des photographies
1 : 6500
à 1 : 10,000
1 : 9000
à 1 : 14,000
1 : 14,000
à 1 : 20,000
1 : 18,000
à 1 : 30,000
Echelle du modèle à la machine de
restitution
1 : 2000
à 1 : 5000
1 : 4000
à 1 : 7500
1 : 10,000
à 1 : 20,000
1 : 10,000
à 1 : 20,000
Type des objectifs utilisés
Zeiss-Topar,
, Wild-Aviotai
• et Aviogon
Distances focales des objectifs
210 mm,
170mm,
100 mm
Dimensions des signaux placés aux
points de limite restitués
0.20 m
à 0.30
0.30 m
à 0.50
0.40 m
à 0.60
0.60 m
à 1.0 m
Machines de restitution de le ordre
utilisées
Planigraphe Zeiss C5, C7, C8
Stéréoautographe Wild A5 et A7
Erreur moyenne quadratique des
points d’ajustage (sitation et
altimétrie)
0.02 m
à 0.05
0.05 m
à 0.10
0.10
à 0.20
0.20 m
à 0.40
Erreur moyenne quadratique de situ
ation des points limites restitués
± 6 cm
à ± 14 cm
± 10 cm
à ± 20 cm
± 20 cm
à ± 30
± 25 cm
à ± 40
Correspondant à l’erreur transformée
à l’échelle du cliché (en 0.001 mm)
± 8 ¡x
à ± 15 fx
± 11 /u
à ± 15 [x
± 15 u
±15 fi
Erreur moyenne quadratique altimé
trique des points signalisés
± 8 cm
à ± 15
± 14 cm
à ± 20
± 20 cm
à ± 30
± 30 cm
à ± 40
Erreurs moyennes des distances entre
les points de limite restitués (distan-
± 6 cm
à ± 12
± 11 cm
à ± 20
± 20 cm
à ± 30
± 22 cm
à ± 40
ces entre 10 m et 150 m)
2. D’autres méthodes photogrammétriques (redressement) ou dispositions (levé de
limites sans signalisation des points) mentionnées dans les rapports nationaux indiquent
des résultats fort bien connus dans les milieux professionnels. Nous en faisons donc ab
straction.
3. L’identification de l’image avant sa restitution est considérée dans la majorité
des pays comme une opération nécessaire à l’établissement d’un cadastre. Si l’identifica
tion est négligée, un pourcentage trop élevé de points de limite ne peut pas être restitué
et le travail ne peut pas être considéré comme sûr; des levés complémentaires à l’aide de
méthodes classiques sont nécessaires et il résulte une diminution sensible du rendement
du levé photogrammétrique. L’identification, combinée avec le mesurage des débordements
des toitures d’immeubles et d’autres détails (largeurs de chemins, de ruisseaux, etc.),
s’étend non seulement aux limites de propriété et leurs points mais aussi à tous les autres
objects du plan, de même qu’aux points d’ajustage ou de rattachement.
4. Dans les pays où une collaboration rationnelle du service cadastral avec le ser
vice topographique, cartographique ou géographique est organisée, les courbes de niveau
sont requises à l’occasion de l’établissement des plans cadastraux ou plans d’ensemble.
La restitution stéréophotogrammétrique de l’altimétrie est particulièrement favorable et
il est logique que les pays qui ont commencé une cadastration photogrammétrique systé