Full text: General reports (Part 3)

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9-4-3. — Restitution graphique. 
La stéréorestitution fut tirée de l’autographe Wild A.7 à partir de contacts diapo- 
sitifs verre de 2,2 mm d’épaisseur. 
Des échelles 1/600 et 1/1.200 on tira les détails suivants : 
Toutes les constructions visibles, de quelque type qu’elles soient : escaliers, rues, 
routes, murs de clôtures, chemins de fer, ponts, rivières, limites visibles, clôtures, haies, 
postes téléphoniques, cabines de circulation routière, croisements de rues et chemins 
de fer, arbres, ruisseaux et courbes de niveau. 
A l’échelle du 1/2.400, escaliers et arbres ne furent pas restitués. 
Une aiguille d’acier fut employée de manière générale, pour la restitution de tous 
les détails de forme géométrique définie. 
Aucune interprétation au sol (qu’il est possible de faire sur une photographie 
aérienne agrandie) n’a été faite, ceci à l’opposé du procédé habituel européen. 
L’interprétation au sol fut cependant employée pour la localisation correcte des 
points d’aérotriangulation destinés à l’orientation absolue. 
9-4-4. — Restitution numérique. 
La principale raison de cette restitution numérique fut d’établir une relation entre 
les points restitués tirés de photos aériennes à différentes altitudes et des différents 
types de photos prises avec objectifs nouveaux et grand angulaires. 
Environ cent points distincts furent mesurés sur le terrain et utilisés comme points 
de vérification. 
9-5. — Résultats. 
9-5-1. — Précision de la planimétrie. 
Les coordonnées lues sur l’autographe ont été transposées dans le système de coor 
données terrestres. 
Pour la détermination de la constante de transformation, huit points bien définis 
répartis sur l’ensemble ont été employés. 
Les huit points ont été transformés, deux seulement ont été utilisés pour le calcul 
de la constante de transposition. 
Les points transformés présentant une déviation excessive sur la position terrestre 
ne furent pas inclus. 
Ils servirent de points de vérification ordinaires. 
Cette précaution sembla nécessaire par le fait qu’aucun point ne fut spécialement 
désigné comme devant servir de point d’identification. 
Après la transformation des coordonnées photogrammétriques en coordonnées 
au sol, les différences entre ces coordonnées purent être évaluées et l’erreur moyenne 
quadratique tirée des formules 
n 
où n est le nombre de points. 
M, 
L’erreur moyenne quadratique en position planimétrique fut finalement calculée 
par la formule : 
M = v/(M* 2 + M„ 2 ).
	        
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