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2. Le principal travail expérimental correspondant a été l’application de
cette méthode à l’essai contrôlé n° 1 sur le polygone suisse; les résultats
en seront publiés au Congrès.
10. Grande-Bretagne.
Etude d’une méthode d’extrapolation des éléments d’appui par l’utilisation
de prises de vue à très petite échelle (1:90.000).
11. Italie.
Pour la méthode solaire Santoni, compte tenu des résultats déjà obtenus
au moyen du périscope pour les aérotriangulations de courts rubans à échelles
moyennes et grandes, l’application est étendue à un bloc de bandes (à échelle
moyenne ou petite) et à des levés à grande échelle (rubans isolés et blocs
de rubans).
Pour la méthode Nistri à point nadiral gyroscopique, il y a lieu de mentionner
la continuation des études sur les procédés les plus convenables pour réduire
la propagation, dans les rubans, des erreurs systématiques d’inclinaison des
modèles. On a recours à une utilisation plus rationnelle de la caractéristique
principale de la méthode qui rapporte chaque cliché à sa verticale locale, avec
de petites erreurs essentiellement accidentelles et indépendantes du transport
des autres éléments fournis par l’enchaînement.
16. Pays-Bas.
Etudes diverses concernant la compensation de l’aérotriangulation.
Etudes sur la triangulation radiale.
17. Suède.
Théorie des erreurs de l’aérotriangulation, y compris les méthodes permettant
de distinguer entre erreurs systématiques et accidentelles.
Voir (36), (37) et :
B. Hallert : Test of fundamental Photogrammetric Operations.
The Photo grammetric Record, Vol. I, n° 5, April 1955.
18. Suisse.
Voir (41) et (11). De plus :
Etude de la propagation des erreurs et de la compensation des bandes au
moyen de bases transversales données (pas encore publié).
B. Contribution de l’O.E.E.P.E.
Les numéros 1953/54-1 et 1954/55-1 de « Photogrammetria » contiennent
des renseignements sur l’établissement, les statuts et le premier programme
de travail de cette organisation. C’est pourquoi nous limiterons ici nos considé
rations aux faits qui intéressent spécialement la Commission III. II n’aurait
pas été illogique de traiter ce sujet dans le chapitre VI consacré aux travaux
pratiques exécutés, mais le but de l’O.E.E.P.E. étant d’organiser des recherches
ou plutôt des expériences dont les résultats seront mis à la disposition de tous
les praticiens et non de contribuer directement au programme cartographique