Full text: Reprints of papers (Part 4b)

REPUBLIQUE ITALIENNE 
MINISTERE DES FINANCES 
DIRECTION GENERALE DU CADASTRE ET DES SERVICES TECNIQUES DU TRESOR 
\ Applications de la photogrammetrie aerienne aux levers 
  
cadastraux des agglomerations bäties 
  
(Communication à l’ VIII Congrès de Photogrammétrie - Stochkolme 1956) 
Doct. Ing. TITO RUMBOLDT 
Dans l'établissement des plans concernani les agglomérations  báties 
on rencontre des difficultés particuliéres et différentes que pour les terrains 
ruraux. 
Ces difficultés sont variables, suivant les caractéristiques de l'agglomé- 
ration ou de la partie bâtie (ville, faubourg, village) qu’on doit lever, c’est 
à dire suivant la configuration et la largeur des rues, les conditions de frac- 
4 r7 tionnement parcellaire, la conformation des ilots de propriété et de leurs 
dépendances couvertes ou non, la situation des bátiments etc. 
4 * Les conditions précitées se reférent soit aux agglomérations exclusive- 
ment ou présqu'exclusivement urbaines (villes proprement dites, bourgades 
et contrées, où l’industrie, l’activité artisanne, le commerce, le tourisme ete. 
| sont particulièrement dévéloppés); soit aux agglomérations qu’on peut ap- 
peler rurales, tels les villages, situés au centre ou en proximité de territoires 
de campagne: agglomérations — ces dernières — habitées surtout par les 
coltivateurs et ayant des caractéristiques connexes à leur activité spécifique. 
Pour le levé des agglomérations bâties, surtout pour les buts du Cadastre, 
on applique en général les méthodes de mensuration ordinaires (levé par 
alignemente, par coordonnées orthogonales, levé tachéométrique), tandis que 
| l'utilisation de la photogrammétrie aérienne n'est pas fréquente. 
| En effet, à propos de la dite utilisation, les avis ne sont pas encore assez 
+ | - unanimes. 
| On doute, notamment, que dans les plans des parties báties, confection- 
| nés par la méthode aérophotogrammétrique, les écarts constatés puissent étre 
superieurs aux tolérances admises; d'autant plus que ces tolérances sont 
trés restrictives, en relation à la grande échelle employée. 
On doute aussi qu'il soit possible obtenir aisement une correcte répré- 
sentation des bátiments et dee édifices, par suite de difficultés dans l'inter- 
(Dy 
 
	        
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