focale de la caméra nadirale étant f — 125 mm ; la longueur moyenne de la base
du stéréogramme est fournie par :
zm Jan
PS S 200003 Z.
Les clichés obliques repérés par D sont ceux pris à la droite du pilote, ceux
repérés par G sont ceux pris à la gauche du pilote. Les films employés étaient :
pour la prise des clichés obliques l'Aviphot Gevaert 309 scheiner; pour celle des
clichés nadiraux le Super XX Kodak Pathé.
Les trois caméras étaient munies de filtres jaunes. Les ouvertures relatives
utilisées étaient F : 0.
Tous les clichés originaux de l’une des trois séries, un jeu d'épreuves et un
tableau d'assemblage nous ont été expédiés par Monsieur lI Inspecteur général
géographe Janicot le 25 Juin. Mais des difficultés douanières nous ont empêché
de prendre possession de ces documents à Florence avant le 12 septembre.
Nous possédions déjà, à ce moment là, les données nécessaires pour la
construction des correcteurs de la distorsion des objectifs des trois caméras,
correcteurs qui furent commandés à « Officine Galileo». En vue de la restitution,
les négatifs reçus furent tirés, dans les laboratoires de E.I.R.A. (à Florence) sur
diapositives « Ferrania ». Une deuxième série de copies fut tirée sur papier.
2.2 — POINTS DE CALAGE.
Le 19 septembre, par l’ intermédiaire de M. Janicot, nous avons fait parvenir
à l’I.G.N., qui, comme nous l'avons déjà dit, s'était assumé la charge de la
préparation à terre, une série d'épreuves de toutes les photos nécessaires à la
restitution du polygone. Aprés examen au stéréoscope, nous avions localisé, grosso
modo, sur les clichés obliques, les zones idoines à l'établissement des points de ca-
lage nécessaires pour mener éventuellement l'essai à bonne fin, indépendamment
de l'orientation des prises nadirales. Nous désirions en effet consacrer ce premier
essai seulement à l'étude et au contróle de la précision de restitution des prises
obliques. Nous nous réservions de procéder, en un deuxiéme temps, à une resti-
tution de clichés obliques, dont l'orientation serait déduite de l'orientation par
enchainement ou par préparation réguliére de clichés nadiraux.
Le temps perdu à cause des difficultés de dédouanement des clichés ayant
malheureusement retardé considérablement l'exécution de notre programme, nous
nous préoccupions en méme temps de I’ hypothése oli une préparation réguliere
des clichés obliques se révélat impossible. Pour parer à ce danger, nous avons
prié M. Janicot de nous transmettre, dans ce cas, les coordonnées et les croquis
des points de calage (4 pour chaque stéréogramme nadiral) nécessaires à l'orien-
tation des clichés nadiraux, ainsi que la position altimétrique de quelques points
au centre du polygone.
Notre essai aurait porté immédiatement, dans ce cas, sur une utilisation plus
économique des prises de vue obliques, utilisation comportant naturellement
— "IO. —