<-
Z (I + cos*x)sen 2 0
mL EN apta) sen 2 9 osa cbieor2e cup2 dj
SD
€
|
f sen? x sen* 2 «
I. 7 I
22x 0 x — 0 (X ——————
¢ oy Q j* B cos Q
o. Z Z (I + cost x) cos 3 Q
PERTE CB ‘2 sentacos(Q + a) cos (Q — à)
0; Z Z (I + cos*«) sen 3 Q
} (p — RE sta——
1 f* B 2 sen* a cos (Q + a) cos (Q — a)
Z 2 (1 + costa) cos? Q
Oyw= — ( d ) (sen? x + cos 2 « cos 2 Q)
f? sen? « sen? 2 «
I Z sen Q cos? Q (1 + costa)
C ) © = TUI XE I = cos? M (1 + costa)
f* B cos(Q — x) cos (Q + a) sen? «
P I À tang Q
% = — — —
? /? B* cos(Q — «) cos (Q + a)
4.4 — VALEURS DES ERREURS MOYENNES DANS LES CONDITIONS DE L' ESSAI.
Si nous introduisons dans les expressions 4.3.8 les données de l'essai de Ver-
cors n? 2:
tango = 1/2 0, =0" 0, = 50° Z/B = 2, nous obtenons
les valeurs des coefficients de poids et des coefficients de corrélation du tableau
4.4.1 À pag.: 48.
En suivant le procédé Santoni et en observant les f v, les erreurs moyennes
quadratiques à craindre pour les variables d'orientation relative sont dans les deux
cas :
m, My mo Mr MO
0=0" +2,26 2 Z; + 453 d Zi 464 72; + 2,83 m ; + 5,34 ze
1 - $6 7 Ww m
Q = 50% + 4,53 ni Z; + 2,26 £r Z;4:2,72 E ; 4 3,83 j ;z 12,04 7
Nous constatons que la théorie des erreurs de l'orientation relative confirme ce
que nous avons constaté dans la pratique (3.2.7): c'est à dire que dans le cas des
clichés obliques la simple élimination des pv peut provoquer des erreurs résiduelles
en d o" quatre fois supérieures aux erreurs en d o" et d x^.
Nous constatons également que le passage des clichés nadiraux aux clichés
obliques n'influence pas défavorablement les résultats de l'orientation relative,