3 — 9) Difficultés principales pour l'application de l'aérophotogram-
métrie.
On rencontre des difficultés pour le levé aérophotogrammétrique des
zones rurales trés convertes ou comportant un morcellement notable.
Dans ces terrains on doit signaliser le plus grand nombre des points-limits
pour les rendre visibles.
Le levé a.phf. des parties bâties (zones urbaines) exige de notables
levés complémentaires par les méthodes de mensuration ordinaires.
4 — Établissements des plans de territoires urbains et d'agglomérations.
4 — 1) Le levé de ces plans est reglé dans les contracts d'entreprise et les
cahiers de charges.
Il n'y a pas d'Instructions officielles uniformes à ce sujet.
4 — ) Pour ce genre de levé, les méthodes photogrammétriques sont ad-
mises.
4 — 3) Dans la période 1952-1955 la surface levée est de 80.000 hectares
environ (20.000 hectares annuels).
4 — 4) Les plans sont confectionnés à l'échelle de 1:2000 on 1:4000.
4 — 5) On prefére employer des objectifs normals.
4 — 6) On utilise les mêmes appareils de restitution que pour les levés
cadastrals.
4 ___ T7) Genre et densité des points de contrôle utilisés pour la restitution
aérophotogrammétrique.
Pour la planimétrie:
— dans le terrain: — points par chaque — points par hectare:
(procédé géodesique ou po- steréogramme :
lygonation de précision) l5 0.02 — 0.03
— à l’appareil de restitution :
(enchaînements aériens jus-
qu’à 4 ou 6) 1,5 0.02 — 0,03
Stéréogrammes 3 0,04 - 0.06
— Por l’altimétrie: points par chaque points par hectares
dans le terrain: stéréogramme
(livellation de précision) 7— 14 0,15 — 0,25
à l’appareil — —
Ces données se reférent à des plans au 1:2.000 et à la surface de
ha 40 — 70, qu’on peut restituer par chaque stéréogramme.
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