4—9 et 4 —8) Signalisation dans le terrain.
Ce n'est pas necessaire de signaliser dans le terrain les points de re-
père, ni d’autres points.
4 — 10) Étandue et technique du travail d'identification dans le terrain.
L'identification (interprétation) des vues photographiques dans le ter-
rain est trés reduite.
Généralement on ne l'effectue que pour les détails cachés par la vé-
gétation ou pas visibles dans les vues.
On utilise des mensurations auxiliaires effectuées par les triplométres.
Les levés complémentaires au moyen du táchéométre ne sont pas fré-
quents.
4 — 11) Technique de la restitution stéréoscopique.
La restitution (planimétrique et altimétrique) est effectuée par le point
separé ou par lignes continues, suivant les cas.
4 — 12) Restitution des lignes des toits.
Suivant les cas et l'échelle, on peut accepter la ligne des toits restituée,
comme ligne terrestre pour les édifices.
Pour la meilleure exactitude, s'elle est requise, on effectue la mensu-
ration des forjets.
4 — 13) La précision moyenne de restitution des détails naturels ou ar-
tificiels du terrain, pour les points non signalisés, est de 50 cm environ.
4 — 14) Somme de travail supplementaire dans le terrain.
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On peut l'évaluer en raison de 3% du temps total.
4 — 15) Difficultés principales et imperfections de la photogrammétrie
appliquée a l'établissement des plans urbains,
I] n'y a pas d'imperfections.
Dans les zones de vieux bâtis l’exacte restitution planimétrique des
édifices et des rues est entravée par l’irrégularité et les dimensions notables
des forjets des toits.
4 — 10) Remarques.
Les levés aérophotogrammétriques pour l’urbanisme n’exigent pas de
tolérances trop restrictives.
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