WORKING GROUP 8
RUELLAN
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Nous serions heureux d’avoir l’opinion de nos collègues sur cette méthode de
travail et de savoir si d’autres expériences du même genre ont été faites ailleurs
pour l’établissement d’une carte à grande échelle du littoral.
Discussion
R. Thonnard (Belgique) demande quelques explications complémentaires au sujet de la
photographie sous-marine en relief. Réponse: Distance de prise de vue au maximum de 1 m
à 2 m. Aire couverte très réduite. Eclairage au flash, projecteurs à tubes électroniques.
Capt. R. Thorèn (Suède) demande quelle est la profondeur maximum réalisée dans les études
à trois dimensions du littoral avec l’aide de photographies en couleur. Réponse: Une dizaine
de mètres dans la Manche et dans l’Atlantique.
M. Gianlupo del Bono (Italie) demande des détails concernant les problèmes résolus avec
la photographie infrarouge. Réponse: On étudie la dérive et l’origine des sédiments. Les photo
graphies donnent la situation à un moment donné; l’étude s’intéresse à la dynamique des
processus, d’ou des échantillonnages répétés.
Dr. Schneider (B.R.D.) demande si l’on a fait des observations systématiques sur la
migration des sables et des fleuves sous-marins. Réponse: Une étude des mouvements des sables
par M 1Ie Olga Gruz entre Carolles et Granville, qui montre le rôle capital des courants
de marée.