DES INTÉGRALES EULÉR1ENNES. 241
Pour avoir la seconde partie que nous nommerons Q , il faut faire
x n z=zi —y n alors on aura
/ x?~'djc C y^'dy
n J n ’
y/(i—x n ) n ~i {/(i—x n y-<
et la transformée en j devra être intégrée depuis y n = \ jusqua
j- n = o. Si 011 change son signe, elle devra être intégrée depuis
y n x=. o jusqu’à y n = on aura donc
Hi+-
— P
277
Jl p. 271 p
etc.
q ' 271 n + <7 ' 271.4« 271-f-<7 '
Il ne s’agit plus que de réunir ces deux parties, et on obtient
n—q. 27i—q 1
\p an '77-f-p
h n X3^=S^î. s JL. z+et o.
an./pl *277-f-p~ an./¡n.6n on-\—p
M j \p 271 71+p
q +-~ p —-+
. ‘ VJT 277 77-f-</ 277.4« 277-j—ijf 277.4«. 0« OH-j-q
n p. 277—p.3?7—p 1
-etc.
Les deux séries comprises dans cette formule sont toujours conver
gentes , puisque chaque terme est moindre que la moitié du précé
dent : on obvie ainsi à l’inconvénient que présenterait la méthode
ordinaire, si on voulait intégrer tout d’un coup la valeur de ;
depuis jc = o jusqu’à x= i, ce qui donnerait la suite très-peu
convergente
(P) — l + Z=1. -L- + •L-.'LJ.’LTJ . ' + etc.
\q/ p * n n -j- p ' n .an an -f- p
CO-
Au reste, lorsqu’on suppose p= q = æ , la formule (h') se réduit
précisément à la formule (g') trouvée par une autre voie.
(22). Il ne sera pas inutile de chercher la valeur de la fonction
, dans le cas où n est très-grand par rapport aux nombres p et q.
Pour cela, soit px=:ctn } q—Çn, on pourra considérer a et C comme
des quantités très-petites du premier ordre , et il faudra dévelop
per jusqu’au degré convenable les suites P et Q; on a d’abord,
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