DES INTÉGRALES EULÉRIENNES:
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/ x?~'dx log - - Z, __
ï 6 x a "log sf 1
• q 1 «
n—q. 977—q
1 -fetc.l
/ n ,, _ n Lp
2 n * n-\-p'
2n./s t n
2/Z+p ‘ J
l/Ci —x' 1 )' 1 -?
-iri n—q
i
n—q. 2n—q
etc
]
2U ‘ (/l-f-p) 2, 2/1.4n (272-f'PY
1 1 , n—p.zn—p / X ■ 1 N
211'n-\-q zn .¿ t n{2ii-\-q') \n—p 2n—p/
H- 2 , n p.2n—p.3n p/ 1 1 , 1 N
I 211.^11.6/1, (3/1+g) \n p 271 p 1 On — p/
k -f- etc.
Ces suites sont convergentes, puisque chaque terme est moindre
que la moitié du terme précédent ; mais leur forme est compliquée ,
et elle le deviendrait davantage dans la différentielle du second
ordre ou d’un ordre plus élevé. C’est pourquoi il convient d’avoir
recours à d’autres moyens si l’on veut évaluer facilement les inté
grales dont il s’agit.
/ x p ~ l dx log — .
- -, et par 4 (jJ
v /( 1 — *»)«-»
le rapport de celte intégrale à la fonction ^ } î déjà représentée
par Z, ensorte qu’on ait
4(î)-’ (5)
<7
Z f
suivant ce qui a été dit (art. 28), on aura
et
+(!)=
•(5)
dZ i_
~d¡¡' Z
dZ
dp
d (log Z )
q / ap lu dp
Mais puisqu’on a aussi Z = ^ ^ ^, il en en résulte
dZ / q \
dq ^ \ P ) 9
où il faut observer que <p ^ ^ n’est pas la même chose que <p