gîigés ; et c’est ce qu’il est toujours facile de faire, à moins que
iî* F*
ne soit infini à l’une ou à l’autre limite de l’intégrale.
Ainsi ce cas excepté , et à plus forte raison celui où ^ de
viendrait infini à l’une de ces limites, on déterminera Faire Z par
la formule
Z = ®2F (x + iffl) + ~ ,
la seconde partie étant la correction de la première.
¿F
(4). Si le coefficient ^ était infini à l’une des limites de l’inté
grale , c’est-à-dire , si dans l’un de ces points, l’ordonnée était
tangente à la courbe , il faudrait chercher par un autre procédé
Faire comprise entre cette ordonnée et une ordonnée peu éloi
gnée ; le reste de Faire ne serait sujet à aucune difficulté.
Supposons, par exemple, que soit infini à la seconde limite
de l’intégrale, et soit j = h l’ordonnée qui est tangente à la courbe
en ce point. Si en faisant xz= a— a,onay = c, alors Faire
comprise entre les deux ordonnées c, b, sera à très - peu près
g(2c-|-Z’). C’est ce qui résulte de la supposition que l’arc de
courbe dont il s’agit peut être assimilé à un arc de parabole dont
l’axe est parallèle à la ligne des abscisses.
Î1 faudra donc joindre à la quantité Faire com
prise depuis xz— o jusqü’à x = a — et.
Une connaissance plus intime de la nature de la courbe, pourra
conduire à une valeur plus approchée de Faire comprise depuis
x = a — ce jusqu’à x = a ; mais la détermination précédente suffira
dans presque tous les cas, et le procédé serait le même si ^
infini à la première limite.
dY
De même si ^ n’est pas infini à Fune des limites de l’intégrale,
d 3 F ... ,
niais que ~ le soit, ou qu’il ait une valeur très-grande ; alors il
conviendra de calculer d’une manière particulière Faire de la por-
4o