62 PREMIÈRE PARTIE.
On aura semblablement ~ i (E' — F') , = — (E'-—c*F')
et parce que bdh -f- cdc = o, on en déduira
dE'
de
c
¥
(E'—F')
-,4-Cewf').
Substituant ces valeurs dans celle de JP, on aura JP := o ; donc
P = const. Mais on a trouvé dans un cas particulier P = ^ -Tf; donc
l’équation (J') a lieu généralement, quel que soit c.
Lorsque c = \/j = h , l’équation (J') donne
- = F 1 ( 2E*—F 1 ).
Ainsi dans ce cas particulier, E 1 se détermine encore par F 1 .
Il peut y avoir quelques autres cas particuliers où la fonction de
seconde espèce E 1 (c) s’exprime par la fonction de seconde espèce
F 1 (<?),* nous ferons voir en effet que chaque cas particulier connu
en fait connaître une infinité d’autres ; mais la détermination géné
rale paraît impossible d’après les recherches suivantes.
Equations différentielles qui expriment la liaison mutuelle
des Jonctions E et F.
(45). Si l’on différentie par rapport à c les deux formules E=/AJ<p,
F=y"^ , on aura comme ci-dessus,
J 1 Cf ^P ^ F — F )
E( E
dE
de
dF
de
Il en résulte les deux formules
dF
F = F — c J-
de
E= *’( E + c ^-) +
C Sin (p cos ç
(«')
qui contiennent les relations mutuelles des fonctions E et F.