(p> <i) — (9> P)•
(4)
forme
QUATRIÈME PARTIE. SECTION I.
fx p ~ T dx( i—x) î—1 =
r P r 4
r (p+<7>“
On aurait trouve le même résultat en supposant p entier et q un
nombre quelconque., ce qui d’ailleurs se voit immédiatement en
mettant i — x à la place de x.
(8). L’équation précédente ne contenant plus de facteurs en
nombre indéfini, acquiert une plus grande généralité, et ne sup
pose plus que l’un des deux nombres p et q est entier ; car
d’ailleurs chaque membre doit se réduire à une même fonction de
p et q, laquelle est
i - 2=i . 4- +2=M=2 . =*. • + etc.
P 1 p+1 1.2 p-h 2 1.2.0 p-f-O
Nous aurons donc , quels que soient p et q, l’équation
(P>*) = F§+T)‘ (3)
qui sert à exprimer généralement la fonction {p , q) au moyen
des fonctions F.
(9). L’équation (5) simplifie considérablement la théorie des
fonctions (p, q) , puisqu’elle fait voir que ces fonctions, qui
dépendent en général de deux variables, peuvent se déterminer
par la fonction F qui n’en contient qu’une. Cette même équation ,
en établissant une relation entre les fonctions (p, q ) et les fonc
tions F, va donner les moyens de découvrir les propriétés des
unes et des autres. Et d’abord on voit que dans la fonction {p, q),
les quantités p et q peuvent être échangées entr’elles , puisqu’il
en résulte toujours la même valeur de (/?, q ). On a donc la
formule