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FONCTIONS ELLIPTIQUES,
2K. jn/7 x 2K 0 ^ fln n v 2R°£° . -
— G (A, <p) —G (A- 0 , <p°) = —— sm <p°;
et, en comparant ies seconds membres de ces deux équations, on s’as
sure aisément qu’ils sont égaux; car, suivant l’art. 63, tome 1 er , on a
sm ® =—--y- . —-—11 reste donc a laire voir quon a
T 14- k° A (Jb. ffl} 1
4K°/i o
1 ■+■ Jb°
= K A*; c’est ce qui résulte des valeurs connues R = (i-f- A 0 ) K°,
A* = - -• ^ onc 01:1 aura l’équation
— G (A, $) — = îï-°G (A", <j>°) - ,
5T \ 5 ry (à {rj f x) TT v ’ r J © (ÿ% 2«) ’
où l’on remarque que le second membre n’est autre chose que le premier,
dans lequel on mettrait A 0 et <p° à la place de k et (p; car celte substitution
exige qu’on mette en même temps q a et ix à la place de q et x.
Cela posé, si l’on désigne le premier membre par <D(A, (p), le second
membre sera <D(A°, <p°), et l’on aura O (A, <p) = O (A 0 , <p°). Par la même rai
son, on aurait O (A 0 , <p 0 ) = 0(A 00 , <p°°), <1>(A 00 , <p 00 ) = O (A 000 , (p 000 ) , etc. ;
donc on aura en général O (A, (p) = $ (A*“, (¡T). Supposons que la suite A,
A 0 , A 00 , etc., soit prolongée jusqu’à un terme A*, qu’on puisse regarder
comme négligeable, ou même infiniment petit, alors la valeur de q, cor-
pondante au module A**, sera le terme de rang ^ dans la suite q* ,
</ 8 , etc., et par conséquent sera q^; d’où l’on voit que ce terme sera en
core beaucoup plus négligeable que A^ : et puisqu’on a
,y- 2K'“ ^ /7 /t ‘2 1 * ix)
®(A , O
G (A , <p )
© (?***, 2*“*)
on pourra , dans le second terme , faire
© (<7'^, 2 i “jr) =1, et ©'(^, 2 ,w \r) = o;
ce qui réduit la valeur de ^(A^, (p 1 ") au premier terme G (A , <p M )
= [E^, <p M ) — (Ji*, <?**)]• Mais dans ce cas, où ¡i est censé in
finiment petit, on a R“ = \tt = E’A^, e? = 1-, on a de plus
E(r,/}=F(r,/)=^; donc 0(A^, /) = o:
donc on a en général O (A:, (p) = 0 , ou
2K ^ ^ ^ © (17, a;) _