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TROISIÈME SUPPLÉMENT. 3i5
(c + c,x + x') -f- + x‘) — (a + a,x)(/(i — x 5 ) = o,
où l’on peut negliger les æ 3 , et par conséquent mettre i à la place de
✓(i — je 5 ) ; de sorte qu’en égalant à zero les coefficiens des trois pre
mières puissances æ°, æ l , jc a , on aura trois équations , d’où résulte
a — c,
'■=-{—)(>-°h
a x — c — \ [m —- i).
Ces valeurs étant substituées dans l’équation
c -f- c x t -f- = A (a -j- a x t) ,
ou en tire
xt
PF9
Z + Z 2
A(l ~h t) — I -f- t
ou , en faisant passer l’irrationnelle au numérateur,
i -J- (3 — ???) t — (m — i)r±\/(i — z 5 )
m — i — (3 — m) t — Z*
Le dénominateur de cette formule s’évanouit pour les deux valeurs de t
déjà connues
* = - (^) + \J(~) = °-7956o 44933 = «,
t = — — y/^r^) = — i -SSySS 65:58 = — 6.
Ces valeurs cependant ne rendent pas c infini, car la formule étant écrite
ainsi,
m (i — t 2 ) ± t/(i — z 5 )
C + 1 —
on voit que le numérateur m (i —i —t 5 ), pris avec le signe
inférieur, s’évanouit lorsque t — ct i et qu’avec le signe supérieur il s’é
vanouit encore lorsque t = — Ç, ce qui résulte de l’équation identique
( i — t) []( i -f— t) m —}— ¿ a ”i~ —{- i j [( i *-j— t) m —1 % — 31 —— iJ
= [m (i — i*) + \/(i — t 5 )] [m(i — ¿*) — y/(i — <*)]•
On peut donc mettre c -f-1 sous cette forme
Tome HL
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