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THÉORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
droite L passant par M 0 et en restant clu côté 1 de la surface,
les fonctions :
V —,
’ ùx
ÔY
ÔY
ôy ’
ôz
et les fonctions
V ÔV ',
v ’ ôx
ÔV'
ÔY'
ôy '
’ ôz
tendent vers des limites ; nous représenterons ces limites par les
notations :
ÔV,
ÔY,
ÔY,
ôx j
d j
’ ôz
ÔY',
ÔY',
ôY',
ôx
ôy
’ ôz
Ces limites sont indépendantes de la droite L (pie suit le
point M.
De même, si M tend vers M 0 du côté 2 de la surlace, les huit
fonctions considérées tendent uniformément vers certaines limites
([ne nous désignerons par :
av,
ÔY,
ÔX 7
ôy
ôz
ÔV',
ÔY',
ÔV',
ôx ’
ôy
’ ôz
Dans les deux cas, ces limites, étant atteintes uniformément,
varient continuement quand M 0 se déplace sur la surface.
A ce point de vue, les deux potentiels se comportent de la
même façon ; mais des différences s’introduisent quand on com
pare les limites relatives au côté 1 avec les limites relatives au
côté 2.
Considérons la normale en M 0 à S et prenons comme sens
positif sur cette normale celui qui va du côté i au côté 2 ;
appelons et -X- les dérivées de V et Y' prises au point M
11 dn dn
parallèlement à cette direction. Quand M tend vers M 0 du
côté 1, —j— tend vers une limite que nous appellerons-;—-etquand
dn cln