quantitatif aux lois de la vision binoculaire énoncées par les physiologistes.
Un article récent rassemble ces lois, au nombre de douze [4]. Elles sont toutes
exclusivement qualitatives. Certains physiologistes, il est vrai, doutent « que
l'on puisse représenter l'espace visuel subjectif par un symbolisme mathéma- :
tique » [5]. E
Nous espérons cependant avoir indiqué une voie pour débrouiller le probléme E s m
de l'exagération apparente du relief. La solution compléte exigera sans doute a a
la collaboration des physiologistes et des photogrammétres. Si nous avons pu E
attirer l'attention des uns et des autres sur cette nécessité, notre modeste travail :
aura trouvé au moins cette justification. T
REFERENCES. E
[1] OGLE, K.-N. — Basis of stereoscopic vision. Arch. of Ophthalmology, 52 [1954] °°
197-211.
[2] RoELors, C.-O. et ZEEMAN, W.-P.-C. — Apparent size. Ophthalmologica (Bále), P :
129 [1955, I] 166-86. E Di
[3] FICHTER, H.-J. — Geometry of the imaginary stereoscopic model. Photogrammetria, E à
10 [1953-1954] 134-9. E
[4] KRETZSCHMAR, S. — La fausse correspondance rétinienne. Documenta Ophthalmo- E.
logica (La Haye), 9 [1955] 46-208.
[5] Archives d'Ophthalmologie, 15 [1955] 84, compte rendu de: LEGRAND, Y. La
théorie de l'espace visuel de Luneburg. Atti Fondaz. G. Ronchi, 9 [1954] 44-51.