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CHAPITRE XVI.
on a successivement
à\\’ , ,. v u
= 2 n 2 a 1 1 1 s B s ..
de
y'P 1 «fc = 2ZiiB„
^ 4 S — ‘2 D - 4 - I
J — s+p
P, £// = 'X
H ils + 2 D — T
P B,-+- 27-1 V ^ ~“ a 1 p B,
p B.< — x-
P=-2i.p.B„
P
i/ 1 ’» *=- r ^zV" ? Bi _ fS v^V' ; 9 b
^4^ + 2 D — 1
„ „ VT 45 — 2 D + I „ „ 4 J -ç -s n ..
- ='- 6 - S P B *+2 -H+T“ P U - _ + 7 ^— P B ”
jLi S “ -— [il ’
15 - »!.,= -:i.; P'“ •
Pour déterminer maintenant la partie du premier ordre de la
coordonnée Ç, on voit d’abord comme au n° 107 qu’il faut prendre
4 s + 2 D — 1
Z = ( ifr = 2f x'^n 2 a 2 sinJpi, s i n ( 4 * 0 + ra* — ){aa') 2 ^ — -r ^ j ,
le développement de la fonction ~ 3 — étant effectué comme ci-dessus
celui de R.
Bornons-nous à chercher la partie principale de Ç, en négligeant
les excentricités et les puissances supérieures de sinJ, ét laissant
encore de côté les termes qui dépendent de x'. On a
H
Z = 2 ¡2' /i 5 a 2 b- s si 11J sin(y + m —x),^
et il en résulte immédiatement
Ç = — fj.' sin .1 b\ ni cos(y + ro — x),
en prenant
1 - 1 , . ,.4 . , .
y, = a' sia J b\ cos ( ttt — x), y 2 = - p sin .1 sin(w — x).
Le calcul des perturbations d’ordre supérieur est relativement
simple dans cette méthode, où le nombre des variables est réduit au