Deuxième séance
9
ploi des
Arc hiv
M. Schneider observe, au sujet de la communication de M. R. Finsteii-
walder, que :
1E
1) La méthode de la planchette ne doit pas être négligée; au contraire,
elle devient, en combinaison avec la méthode photogrammétrique, un
élément nécessaire du lever, même en haute montagne;
2) Le photogrammètre est en même temps un géodésien et un alpiniste
-nmétrie
l’échelle
qui reconnaîtra le terrain à lever de façon à réduire le plus possible les
lacunes par un choix judicieux des stations.
Il aura, comme compagnon, pour la restitution, le topographe qui,
5ANTONL,
leur des
r ues. On
,r trian-
l’année suivante, sera chargé de compléter ce même lever sur le terrain.
T.e travail du topographe est une nécessité si l’on veut obtenir une carte
satisfaisant aux exigences d’un lever moderne.
L’orateur insiste sur la parfaite entente qui doit régner entre le Photo
grammètre et le Topographe. On obtiendra ainsi un maximum de rende
ohe von
nclinés.
nchette.
ment avec un minimum de travail.
Le Commandant Barrère intervient dans la discussion pour signaler
les Travaux du Service Géographique de l’Armée Française.
ite aussi
Le Service Géographique de l’Armée Française a employé la méthode
»
stéréotopographique terrestre depuis 1911. En 1911, 1912 et 1913, on a pris
des photographies dans les Alpes (Massif de la Meige, 3.983 m. d’altitude),
ériel de
sur plaques 9 x 12 et 13 x 18. Ces vues ont été restituées d’abord avec le
stéréocomparateur, puis en 1922 avec le stéréoaulographe von Orel à
l’échelle du 1/20.000.
laquelle
gréable
expédi-
traordi-
le façon
lissante
râlions,
ant pas
exécuté
Ces mêmes vues ont été restituées à nouveau au stéréoaulographe en
1934, soit plus de 20 ans après leur prise, à l’échelle du 1/7.500, afin
d’obtenir un lever plus détaillé. Ceci vient à l’appui des observations de
M. Schneider et illustre l’intérêt qu’il y a à conserver les clichés photo
graphiques dans les archives.
La stéréominute du 1/7.500 est exposée dans le stand du Service Géo
graphique de l’Armée.
s, avec
ri ses de
M. Schneider fait deux observations de détail :
1 ) Grâce au concours de la photogrammétrie et à l’emploi de matériels
3 grand
mt à de
isidéra-
modernes de levers, on a pu, en Suisse, doubler la précision des levers à la
planchette au 1/25.000.
2) En haute montagne, il est toujours utile d’emporter un photolhéo-
dolite pour reperer les points de station photogrammétriques et les points