Cinquième et dernière séance
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M. Cordonnier présente ensuite quelques observations au sujet d’une
question géométrique traitée par M. Poivilliers dans la séance précédente.
M. Poivilliers a donné une démonstration géométrique du fait que
si deux faisceaux projectifs se recoupaient sur une surface, suivant plus
d’une solution, la surface était chaque fois une quadrique X dont il a
donné la propriété connue (une génératrice perpendiculaire aux sections
circulaires).
M. Poivilliers n’a signalé que deux solutions du point de vue géomé
trique. La nouvelle solution est pourtant double du point de vue optique,
une seule étant possible sur les demi-rayons du faisceau perspectif. Si
ie premier point de vue est choisi n’importe où sur la quadrique 2 ,
le second doit être sur une certaine génératrice.
Mais, si celui-ci est convenablement choisi, une nouvelle solution
intervient (double au point de vue géométrique, simple au point de vue
optique). Parmi les deux solutions optiques alors dissemblables au terrain,
rune d’elles peut comporter une faible torsion, l’autre comporte une torsion
considérable, et l’erreur correspondante serait généralement tout de suite
éliminée en pratique.
M. Jarre donne lecture d’une communication de M. Boussilhe, retenu
au Secrétariat général, mais qui déclare présenter quelques observations
au sujet de la proposition formulée dans une séance précédente par
M. Balleyguier et concernant la normalisation des conditions d’établis
sement et de contrôle des plans établis à l’aide de la photogrammétrie.
« Bien que la proposition de M. Balleyguier soit en apparence hors
des sujets que traite le Congrès, ainsi que me l’a signalé M. von Langen-
doref avec quelque raison, j’estime que cette proposition doit être dis
cutée, et qu’elle est parfaitement acceptable pourvu qu’on l'amende et
la complète.
1° Il s’agit en fait de définir avec précision et d’unifier les règles de
tolérance : or, j’ai assez l’habitude des réunions scientifiques internatio
nales pour pouvoir affirmer qu’en cette matière il faut procéder par voie
de recommandations et non de réglementation.
Un Congrès scientifique international n'a pas le pouvoir d’obliger les
Etats, ni les Services publics, ni les particuliers à suivre ses conseils, même
s’ils sont excellents.
Mais il peut donner des conseils.
2° Dès qu’on envisage — et c’est une nécessité actuelle — l’organi
sation industrielle de la photogrammétrie, il y a lieu évidemment de
rechercher comment doivent être rédigés les Cahiers des charges d’enlre-
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