ila posé, nous allons prouver par l’énumération des différens
d v
ca que la différentielle — peut toujours se ramener à la forme
,, où l’on a c plus petit que l’unité.
V/(i—c 2 sm 2 .<p) 3 iii
Premier cas. Supposons les facteurs de a-|-£x 3 -}-3/X 4 imagi
naires, et représentons celte quantité par À 2 -j-2X^tx 2 cosG + ^ a ^ i J
A et p. étant positifs , et cos 0 pouvant être positif ou négatif. On
fera x = y/^ .tang \ <p, et prenant c = sin j 0, on aura la trans
formée
dx i i/ffl
R 2,\/rp. * t/(l — c a sin 2 <p)’
Second cas. Soit et -f- £x a -f- yx i = m* ( i •+■ p*x* ) ( i — q^x* ) ;
la limite de x étant - , on fera x c= - cos a et c 1 . ce qui
<7 q p ~f-tjf 7 ^
donnera
C ¿/(p
R mp ° \/(i—c*sin 2 p)*
Si on voulait que la transformée fût positive , il faudrait faire
cot <p = \/( 1 —' c 2 ) tang "î'*, ce qui donne directement
sin E -f-
m p * \/(i — c 2 sin 2 *y
Troisième cas. Soit a -f- £x 3 -{- := ( 1 +ÿo a # a ) (x s
c 3 , et on aura
m • */(1- C 2 sin a (py
Quatrième cas. Soit cl -j- ^x 3 -f-y.x 4 = w 3 (i +/? 3 x a ) ( i -f- ^ 3 x s )
on supposera p > q , et faisant x
tang <p p 2
c 3 , on aura
R . mp * y/(i — c 2 sin 2 <p)
Cinquième cas. Soit a-f- £x 3 -f- jx 4 = w* ( i —- p^x^') (i —q'-x*) a